Par-ci, par-là....

Difficile de poster sur Blogger. Mes textes se faufilent après mes photos, mes photos postées ne sont pas assez grandes (j'ai demandé à XX bloggeuses comment elles faisaient) MAIS pas de réponses, et je ne peux recevoir de commentaires (même si on sait que l'on ouvre pas un blog dans ce but, reconnaissons tout de même que c'est sympa de lire un petit mot suite à un billet, donc.... je retourne là.

Merci. Je vous y attends.

Les petits bonheurs de la droguerie.

Je cherche ce livre d'occase. Si quelqu'un là, je suis interessée. Faites moi signe.

;o)

Ce festival qui demande qu'à être vécu à fond. On y a vu des talents, des gens drôles, des gens moins drôles. On y entendu des musiques sympas, d'autres moins sympas. Ca sentait la merguez et l'andouillette. On a découvert le coin des kids, les enfants ont profité du bar des mômes. Un magicien nous a fait un spectacle rien que pour nous (on ne sait toujours pas comment il peut avaler autant de ballons sans être malade!) On a passé un bon moment, nous reviendrons, c'est sûr.

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J'aurais pû dire, il a fait un temps de m****, donc nous sommes rentrés plus tôt. Je ne savais pas qu'il y avait 2 mois de novembre par an.

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Vadrouille #1

°°Périgord noir°°Apéros°°Balades°°Baignades°°Feu d'artifice°°Restos°°Barbecs'°°Mon anniv'°°Château fort°°Oies et canards°°Le bonheur était dans le pré°°

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Je pourrais dire, on repart? Mais où?!

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2 juillet/2 septembre....

Comment faire pour avoir les vacances scolaires comme ses enfants?

C'est très simple. Vous prenez votre moto (une 125 fera très bien l'affaire). Vous décidez de la garer dans votre petite dépendance en marche arrière (pour pouvoir repartir plus facilement le lendemain, héhé!!). Là, si tout se passe bien, la moto, à qui vous n'avez pas mis le contact, penche, penche, penche. Comme vous êtes quelqu'un de réflechit vous ne lachez pas violemment , vous la retenez tout en vous laissant tomber (c'est un reflex). Comme la vie est bien faite, qu'il est 21h30, que vous avez 4 enfants LA moto tombe.... avec vous et vous vous fracassez l'avant bras sur une petite marche. Et là, ô joie, ô miracle votre radius se casse et vous avez un bras en forme de "u". C'est sympa, non? Je vous passe l'épisode urgences, 40°, des gosses qui pleurent parce que papa s'est mis à hurler de peur et de douleur. L'angoisse de se demander à quelle sauce il va être mangé, je vous passe l'épisode du je tombe dans les pommes au bout de 30 minutes face à un urgentiste qui n'a qu'une envie c'est rentrer chez lui retrouver femme et enfants. Après.... 6h d'attente dans un couloir parce que CH ou clinique privée tout est "full", l'homme finit quand même par passer au bloc le lendemain midi pour les 3 ans de son fifils chéri. Elle n'est pas belle la vie? Allez, hop!! 2 mois d'arrêt (A J-3, il se demande s'il ne va pas y retourner dans 4 semaines). Handicapé de la main droite, pas facile pour un homme. Enfin, il y en a un, ca ne l'a pas empêché de souffler ses 3 bouzies.

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J'aurais pu dire:

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Ca fo*** les boules, on part en vacances dans 4 jours, je vais devoir boucler toutes les valises, faire les courses, faire le plein et conduire tout le trajet, mais NON je ne dirai rien ;o)

Viva vacanciones.

1er juillet, nous y voilà.

Fin d'année, comme tout le monde. Remise de prix, répèt', spectacle, bulletins, pique-nique, marche à pieds...

Fête de l'école avec Barbapapa, pêche à la ligne, jeux gonflables, spectacle de danse et chorale, tir aux buts, course en sac, chamboultou. Que du bon quoi.

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J'aurais pu dire:

Tout le monde s'éclate, tout le monde a chaud, tout le monde s'endort tard, tout le monde veut inviter des amis avant les GRANDES vacances, tout le monde est épuisé "c'est ca qu'est bon!!"

Il était là, discret, miaulant comme un perdu. J'ai cru qu'il avait faim mais me suis retenue de lui tendre une gamelle de lait. On a déjà une pensionnaire depuis bientot 13 ans, ca n'était pas raisonnable, il a fini par partir.

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J'aurais pû dire:

Que je passais l'aspi comme une dingue et tellement j'y allais mollo, il a eu peur et s'est mis à traverser mon jardin pour se faufiler dans la dépendance. Sans savoir vraiment ce que c'était que ce truc roux qui filait si vite, j'ai stoppé ma tache pensant éventuellement à un gros cochon d'Inde, pourquoi un cochon d'Inde? Tenace, il est revenu tranquillou pour que je le photographie.